Yassine Belattar n'a peur d'aucune vanne, et il n'épargne personne : les Femen, les racailles, les bobos, les Qataris, les footballeurs. Sa réputation ? Il s'en moque. Son idée : frôler la ligne jaune sans jamais la franchir. Un exercice difficile, voire périlleux, pour quelqu'un d'ingérable.